[…], la beauté exige en architecture la liberté, mieux : la surprise. Alors que l’angle droit sépare, divise, j’ai toujours aimé les courbes, qui sont l’essence même de la nature environnante.
[…], la beauté exige en architecture la liberté, mieux : la surprise. Alors que l’angle droit sépare, divise, j’ai toujours aimé les courbes, qui sont l’essence même de la nature environnante.
Ce n'est pas l'angle droit qui m'attire ni la ligne droite, dure, inflexible, inventée par l'homme. Seule m'attire la courbe libre et sensuelle, la courbe que je retrouve dans les montagnes de mon pays, dans le cours sinueux de ses rivières, dans les vagues de la mer, dans le corps de la femme préférée. De courbes est fait l'univers, l'univers courbe d'Einstein.
Ce n'est pas l'angle droit qui m'attire ni la ligne droite, dure, inflexible, inventée par l'homme. Seule m'attire la courbe libre et sensuelle, la courbe que je retrouve dans les montagnes de mon pays, dans le cours sinueux de ses rivières, dans les vagues de la mer, dans le corps de la femme préférée. De courbes est fait l'univers, l'univers courbe d'Einstein.